La Nef des Fous, le carnet de bord de Jean-Pierre Humbert
La nef des fous ... Le carnet de bord de mes aventures et de mes rencontres picturales … Avec moi, larguez les amarres et voyagez au long cours en position assise … Naviguons gaiement, ensemble vers l’inéluctable naufrage...
Pour recevoir les articles par email, vous pouvez vous abonner ci-dessous:
La Nef des Fous, le carnet de bord de Jean-Pierre Humbert
La nef des fous ... Le carnet de bord de mes aventures et de mes rencontres picturales … Avec moi, larguez les amarres et voyagez au long cours en position assise … Naviguons gaiement, ensemble vers l’inéluctable naufrage...
Pour recevoir les articles par email, vous pouvez vous abonner ci-dessous:
LA CONFUSION DES LANGAGES – Par Zoran Zero
Archétype de l’orgueil de l’Homme, la tour de Babel pourrait figurer sur les drapeaux de mouvements mondialistes en tous genres. Des architectes, peu soucieux de la colère divine, s’en sont d’ailleurs inspirés pour la construction du parlement européen de Strasbourg. Dans un autre genre, les rastafariens l’associent au monde occidental, qu’ils jugent décadent. Un occident parti tellement à l’ouest qu’il s’est retrouvé sur les côtes d’Extrême-Orient, à construire des tours en tous points pareilles à celles des villes américaines. Serait-ce donc cela, la globalisation ? Des skylines partout les mêmes, des managers qui passent d’un meeting à l’autre, des mangeurs de burgers dans tous les fast-foods, des joggers qui courent sur le beat,… La même ritournelle aux quatre coins du globe. Notre planète, not political, a toujours préféré faire sa révolution softly autour du soleil. A la surface de la Terre, it’s another story. Red, green, industrielle, islamique ou sexuelle, les révolutions perturbent le processus de mondialisation avant d’être récupérées par le market, éternel profiteur des lost hopes. Pour son international contest sur le thème “Globalization”, il allait de soi que la Contrast Gallery pouvait s’appuyer sur la digital revolution. With the help of the Internet, ils ont contacté des artistes around the world en les invitant à créer un artwork sur le topic. Les artistes n’ont pas disappointed, envoyant par snail mail leurs digital prints. A l’arrivée, la Swiss Post interrompait ses ventes de SnickersTM pour livrer les artworks. Une mission quasi-impossible pour les postmen, stressed by les managers pour respecter the schedule. The result of the contest ? Une diversité des œuvres barbapapesque qui a pushed le jury à étendre son brainstorming pour prendre une final decision. The winner, a Japanese artist named Kinichi Maki, painted a world where cities look all the same. A world where a lifestyle “à la française” means eating a camembert cheeseburger at your local fast-food joint. A world where we all speak the same language, where Babel towers are everywhere. A brave new world.
Mondialisation – Prix Contraste de l’estampe numérique: Le catalogue
La mondialisation, c’est que du bon – Philippe Debongnie − Belgique
Cielo Globale – Alessandra Angelini − Italie – Prix du meilleur des mondes
Pour recevoir les articles du carnet de bord de Jean-Pierre Humbert par email, vous pouvez vous abonner en cliquant sur ce lien.